« A Paris coule la mer du Nord » lu par « Passion des lettres » 18 septembre 2019 Astrid MonetPresse / critique littéraire View this post on Instagram C’est l’histoire de Mary. La très jeune Mary, qui part à la poursuite de ses rêves, sur les traces de sa mère, dans un Paris sombre de décembre. Mary qui ne vit que pour la musique de son violon et pour l’amour de Popeye, un jeune homme déjà usé par la vie rencontré dans le métro. Mary l’émerveillée et la rêveuse, qui voit de la beauté et de l’espoir partout et en chacun. Mary la fidèle qui n’abonnera jamais Popeye. . . Je n’ai pas l’habitude de lire ce genre de roman assez rapide, où les phrases sont courtes et où les sentiments à vifs et pénétrants nous font l’effet d’une claque. J’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire, je me demandais où voulait nous mener l’auteur. Et puis je me suis laissée aller au jeu de l’inconnu, et comme Mary j’ai vécu au jour le jour. La seconde moitié du livre a été lue d’une traite, impossible de lâcher le roman. Serait-il sadique de dire que j’ai adoré La fin ? Parce que c’est le cas, elle m’a percutée ! Je suis ressortie de ce livre le coeur en miette, Mary, ses rêves et les miens pleins la tête. . . « Mary s’écroula sur la scène après une détonation. Elle mourait à présent presque tous les soirs sur les planches du cabaret de Rose. Il lui fallait ensuite quelques secondes pour revenir, redevenir Mary. » . . « Ce serait pire que la mort pour elle, d’imaginer qu’il ne soit pas sûr de son amour pour lui. » . . #livre #book #roman #livrestagram #bookstagram #lecturedumoment #lecturedujour #bookworm #bibliophile #lectrice #lire #reading #livraddict #apariscoulelamerdunord #astridmonet #litteraturefrancaise #litteraturecontemporaine #rentreelitteraire #lescheminsduhasard #avislecture A post shared by Gabrielle (@passion_des_lettres) on Oct 1, 2018 at 12:43am PDT